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Retour sur notre classe découverte au Grand Hôtel de l'Opéra à Toulouse

Henry Purcell était le compositeur anglais le plus important de son époque, et composait pour la famille royale. Music for a While a été écrite par Henry Purcell comme musique de scène pour la pièce Œdipe".

Retour en images, en notes et en impressions pour ce moment technique, humble et présent !
Classe découverte au Grand Hôtel de l'Opéra, il fallait bien cet écrin magnifique pour mettre en valeur les voix de nos artistes participants.

2h de travail intense, autour de deux morceaux :
"The Lord At First Had Adam Made" un carol traditionnel anglais daté du XIXe, puis le clou de notre classe :
"Music for a while" de Purcell. Difficile, technique, lent, air magnifique composé pour la pièce Oedipe.

La surprise attendue pour la restitution dès la 3ème heure, la venue du violoncelliste Loup Vaillant. Challenge supplémentaire afin de sortir du mode a cappella. Nous pourrions croire à une difficulté de mise en place et de justesse, une fois que ces deux mondes se confrontent, novices et professionnels, instrument, puis stress. C'est vrai, et nous avons composé avec cela !

Je soulève la difficulté des deux morceaux, sans partition, seules quelques lignes de texte projetées sur un écran et des indications d'intentions pour la journée. La difficulté résidait dans la hauteur des notes, dans la lenteur d'exécution et sûrement dans mille autres choses...nous avons malgré la technicité des morceaux, été dans le plaisir, dans le son, dans les sensations et je constate la justesse spontanée du chant, lorsque rien n'entrave l'expression de soi.

Je finirai en ajoutant que j'ai souvent la chance d'avoir la présence de Samy, jeune Autiste ex non verbal, dont l'ambitus est aussi étendue que la confiance dont il m'honore.

"La musique un moment,
Trompera tous vos tourments.
Vous vous étonnerez de voir vos douleurs soulagées,
Et ne daignerez être satisfaits,
Jusqu'à ce qu'Alecto libère les morts
De leurs liens éternels ;
Jusqu'à ce que les serpents tombent de sa tête,
Et le fouet de ses mains"

.

"Les Ateliers Lyriques" Isabelle Dratkowski ® méthode

L'émotion artistique, détail de notre histoire ou simple reflet de notre nature...
Que sommes nous devant l’art ? Il est intéressant de se poser la question, de s’interroger et d’essayer de comprendre ce qui se passe à ces moments précis. De quels moments parlons nous ? Lorsque ces envies, ces sentiments induits par l’émotion artistique parviennent jusqu’à nous, lorsque par mimétisme on veut « faire » « être » « dire », musique, peinture, piano, chant, création, puis lorsque l’on pense que l’on ne sait pas. Que l’on ne peut pas (à ce moment encore faut il encore savoir pourquoi). Il suffira alors de regarder, d’écouter, de profiter, actions souvent minimalistes et placebo pour nous satisfaire, nous contenter un temps, alors peut être et seulement serons-nous imprégnés assez et suffisamment pour palier un manque.

Mais de quel manque parlons nous ? Comment mesurer ce manque, provoqué par le caractère inaccessible de l’expression artistique, de la création, de l’appropriation, de l’interprétation, avec le sentiment de ne pas avoir les outils, les modes d’emploi, les bonnes clés.

Il est tout à fait passionnant de se questionner sur le fait de l’entrave. Du mur. Du mur du monde qui semble appartenir aux autres. Quels autres ?

Y’a t’il de façon immuable, le public d’un côté et les artistes de l’autre ?
Y’a t’il le monde de la normalité et les autres ? Quels autres ?
À qui appartiennent les chefs d’oeuvre, où sont leurs portes d’entrée, qui peut ouvrir ces portes ? Que différencie un artiste d’une autre personne ? Mais les artistes ne se révèlent-ils pas, par l’écho qui existe entre ce qu’ils font et ceux qui reçoivent.

Loin de tout cadre rigide, il convient de démystifier l’apprentissage, l’indéterminisme devient alors la théorie qui s’applique à la pédagogie et à l’accès sans condition aux portes de toute expression artistique.
Il existe une part d’aléatoire, d’improvisation dans l’évolution des évènements, nous parlons de variations et d’ajustements spontanés. Nous parlons de liberté pure et sans condition.

La méthode des Ateliers Lyriques, nous invite à considérer La voix, son expression artistique volontaire, comme une démarche bienfaisante et universelle, devant servir des causes nobles, dans des aspects aussi divers que sont les mondes auxquels elle se rattache.

- La voix, vibrante dans les mondes factuels des entreprises où sa légitimité et sa propagation doivent être mesurées et intégrées au sein du management empathique.

- Reconnue et révélée au sein des singularités cognitives où elle devient un son magnifié et transcendé, abritée par des corps et des esprits aux dimensions inexplorées.

- Enfin acceptée et découverte pour bon nombre, publics réceptacles sur lesquels et dans lesquels les émotions, vibrations et envies entrent, comme une somme d’états que nous pouvons, aidée et soutenue, restituer à la lumière de ce que nous sommes et avons envie de devenir.


 

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Retour sur notre classe découverte au Salon Mozart du Novotel à Toulouse

Eh oui...ce n'était pas si simple...POURTANT !
Pourtant deux heures assez intenses ont été dévolues à la découverte de soi, de ses potentiels, de l'idée que l'on se fait de ses facultés, pas uniquement vocales de toutes ses facultés.

Dans le salon Mozart le corps a bougé, le son est entré, car chanter c'est aussi recueillir et accepter les stimuli (musique, production personnelle et collective), le plaisir harmonique.
Une cave médiévale à Toulouse nous a abrité pour la dernière heure. Que dire sinon que c'était une performance lyrique admirable, mue par la volonté de tous.

Les ateliers du dimanche font leur entrée, je vous invite à consulter la page évènement ci-dessous. Les classes lyriques, quant à elles deviennent régulières, de mensuelles à bimensuelles, au plaisir de vous y retrouver particuliers ou entreprises, puisque tous les mondes interagissent inutile de vraiment les distinguer...

Merci et bravo au réalisateur Guilhem Couture pour le teaser et sa musique composée pour l'occasion.

MANIFESTE
"Pour faciliter les possibles d'éprouver l'art en soi-même, par soi-même

Depuis plusieurs mois, dans la continuité d’actions menées et mises en pratique tout au long de ces 20 dernières années, je propose un travail sur LA VOIX, autour de l’art lyrique.

Des Ateliers lyriques aux Masterclass de technique vocale et vers un prolongement naturelle pour mener des Actions Culturelles.

Plusieurs particularités à ces moments

 

  • Ils s’articulent sur des formats courts et uniques (Une journée ou de une à trois heures).

  • Ils sont rendus accessibles à tous, soit aucun bagage musical demandé, aucun pré-requis nécessaire, aucun minimum d’âge particulier (moments vécus avec de très jeunes enfants).

  • Le répertoire proposé fait partie du grand répertoire, motet, airs sacrés et classiques, les compositeurs travaillés sont : Bruckner, Palestrina, M.J Erb, Gjeilo etc. Renaissance, Baroque ou Contemporain.

 

Je choisis des morceaux souvent inconnus ou rarement explorés afin de faire découvrir un patrimoine musical peu interprété, mais également sensibiliser à des harmonies et des modes musicaux dont on n’a pas forcément connaissance et qui ne font pas partie de notre environnement musical. Mes choix s’orientent vers des rendus harmonieux et perceptibles assez rapidement (au vu du format), afin de favoriser et procurer un sentiment  de contentement et de plaisir dû à l’esthétique du morceau et à la mise en perspective des voix, mais un plaisir également généré par la constatation de sa propre production, de son potentiel immédiat.

 

LE TEXTE AU DÉTRIMENT DU SON​

L’expérience et la pratique démontrent, de cours en masterclass, que la technique nuit souvent à la musique et à la bonne pratique chez ceux qui entrent dans le morceau, chez les apprenants.

C’est pourquoi je me concentre sur les entraves et freins supposés et constatés chez ceux qui abordent pour la première fois un air, ou un air qu’ils connaissent depuis longtemps. Il y aura certaines fois plus de précision et de justesse chez ceux qui débutent.

J’amène les participants vers une autre approche du morceau et tente de les défaire d’une partition ou d’un texte, en mettant en place « le geste vocal », leur mémoire auditive, une approche sensorielle et une recherche purement esthétique, le tout lié aux impressions et sensations, lesquelles imprimeront dans le corps d’autres actions, moins scolaires, que le fait de simplement lire sans implication ni intention d’interprétation, et qui les détournerait de façon quasi systématique : de la justesse, du plaisir, de la musicalité du morceau et de la conscience harmonique.

 

POURQUOI LE LYRISME

L’exaltation nécessaire au lyrisme demande un engagement aussi bien physique que moral. Les participants découvrent ou prennent conscience de la place du son en eux, et de leur faculté de transformation de cette vibration.

Ces moments sont à la limite de la performance. Performance individuelle qui fait naître un collectif surprenant et souvent puissant face aux limites supposées de nos capacités qui se brisent sur l’autel d’un certain académisme.

 

DÉCLINAISONS POSSIBLES

La France est riche d’un patrimoine architectural remarquable, lequel est souvent mis en lumière par de magnifiques festivals et concerts, dans des châteaux, abbayes, des cathédrales, des lieux désacralisés ou demeures classées. Si le patrimoine appartient à tous, ses conditions d’exploitations et son occupation reste difficilement praticable.

 

Rendre l’art et l’art lyrique en particulier, accessible est bien plus qu’une formule.

L’art est souvent  « parcouru », « écouté », « applaudi » par un public soit assis, soit visitant les endroits et les salles. Spectateurs, auditeurs, visiteurs, que ce soit dans le cadre de festivals, de concerts ou d’expositions. Mais le public est beaucoup plus rarement producteurs et artistes. Cependant tout le monde a une voix, quant à la sensibilité artistique, si elle n’a été exploitée ou stimulée, elle peut surgir n’importe quand, si tant est qu’on « l’éprouve » en la manipulant, à tous âges.

La voie intermédiaire pour que le public s’approprie le lieu et la production artistique reste à organiser. Mais elle est tout à fait faisable, c’est précisément ce que je propose.

 

La possibilité d’avoir le plaisir et la satisfaction d’imprimer en soi la beauté et la culture dans un même temps n’est pas négligeable. De façon purement pratique, pouvoir la vivre dans sa chair est de l’ordre pour certains de l’infaisable et chose qu'il n'aurait pas imaginé vivre un jour.

Se sentir Artiste, soit "faire une oeuvre" ou avoir la chance de l'interpréter.

 

Nous parlons là de pudeur, d’estime de soi, d’une certaine non légitimité face à l'art, d’une gêne ressentie due au manque de culture musicale, ou générale. Lesquelles d’ailleurs ne sont pas censées être un frein et en lien avec l’accès à l’art lyrique, au grand répertoire, au monde de la musique classique et à sa manipulation par toutes les entrées possibles.

 

Il s’agit de l’accès immédiat et sans réserve à tous, hors conservatoire, hors parcours musical, hors structure artistique professionnelle,  à la possibilité de goûter au plaisir de mettre sa voix en valeur dans les plus beaux endroits, souvent subordonnée à beaucoup de conditions d’utilisations et réservés au monde des arts professionnels.

 

Il est possible que ce qui émeut impressionne, que l’admiration infantilise, et que la beauté et la brillance éblouissent, à tel point que nous perdions de vue, que c’est tout de même

à l ‘aune de la perception et de la sensibilité du public que se bâtissent les épopées artistiques et ses prestiges.

Chacun devrait pouvoir faire entrer en soi, par la pratique et par une approche adaptée, réfléchie, par réappropriation , les trésors musicaux qui ont su traverser les siècles.

La musique, la beauté d’un son, le plaisir des harmoniques,... ce Tout qui fait sens, lorsqu’il s’agit d’une découverte de soi, par soi, il est sûrement plus aisée d’appréhender la beauté de toute chose lorsque l’on fait corps avec.

Le temps qui passe, le chant et Parkinson
"Le plaisir lié à la production artistique, le chaînon manquant"

l y a quelques semaines, F me contacte. Il est atteint de Parkinson et sent sa voix qui lui échappe. Il a plus de 80 ans. Il m’écrit.

« …J’ai longtemps participé à une chorale avec une voix "normale" plutôt grave. Depuis que je subis la maladie de Parkinson,  ma voix s'est altérée tant au niveau sonore que musical. Mon objectif est d'entreprendre une rééducation  afin de perdre le moins possible.

Je réponds à F, « J'ai lu attentivement votre mail, compte tenu des symptômes liés à la maladie et de ses impacts, oui je peux  intervenir, puisque mon approche de la voix et du chant agissent sur la personne, ses intentions, perceptions, ses facultés etc. Mon approche et ma pédagogie bien que technique et esthétique ne se substituent bien entendu pas aux exercices et rééducations proposés par un orthophoniste, mais peuvent vous aider à renforcer son travail et qui plus est, viser à vous procurer le plaisir lié à la production, en tout cas y tendre. »

Tout est dit. Le temps qui passe, la maladie du temps qui passe, ce que nous étions et ce que nous sommes encore.

F a toujours chanté et c’est bel et bien un chanteur, un homme qui a toujours fait de la musique, qui connait du répertoire, qui a mêlé sa voix aux autres, un homme qui vit chaque jour avec sa voix qui semble lui échapper, qui me contacte. Pas uniquement un homme qui "subit" une maladie.

Comment ne pas se voir soi même, qu’en est-il de nos aspirations et de ce que nous avons fait et vécu, qu’en est-il de nos capacités et de nos actions. De ce que nous aimions mais aimons toujours !

La demande de cours de F m’a touchée, tout simplement, parce qu’avec le temps, la manipulation de sa voix ne s’opère que par le prisme « médical » et c’est important, cela va sans dire, or, sa quête est autre.

Le plaisir lié au travail, aux vocalises, à la posture, au répertoire, aux harmoniques, le plaisir de chanter. Il veut bosser F ! Je répugne à le tancer avec mes recommandations et mes méthodes multiples, mais c’est un cours qu’il veut, un cours où on travaille sa voix pour accéder à une harmonie et un résultat. Lors du premier, j’entends sa voix, un peu cachée derrière des gargouillis et des raclements de gorge contre lesquels je lui demande de lutter d’ailleurs.

Je décrypte vite là où je devrais intervenir, son visage est hypotonique, sa mâchoire est serré, il y a peu d’articulation, il tire la tête en arrière et il n’a pas chanté depuis plusieurs années, surtout du répertoire classique et sacré.

Je reverrai F quelques semaines plus tard, une fois les vacances passées, je me déplacerai à l’avenir à son domicile.

J’adapte mon approche, on « fait » du visage, de la bouche, on claque la langue, on va étirer les lèvres et chercher du « cul de poule » avec la bouche. On roule le « R ». On lève les pommettes, on sourit on se balade entre les graves et les aigus, puis la voix de F se révèle enfin, bizarrement plus à l’aise en se promenant vers les ténors, sa voix est claire ! Je me recule dans son appartement et il déclame, nous serons ce jour sur l’AVE VERUM de Gounod, qu’il ne connaît pas et deux lignes d’un Bepi de Marzi SIGNORE DELLE CIME, on travaille avec et sans la partition et la mémoire prend le relais, on se regarde, car F ne chante pas seul, il a une mezzo avec lui et doit faire avec ma voix. Ne pas négliger sa posture, être un peu dans le surjeu pour la prétention nécessaire à l'expression volontaire !

Ses sourires rendront un peu de justesse à ses notes, ça le mettra en valeur qui plus est...Il travaille les morceaux chez lui, il garde mes partitions pour les bosser.

Il est ce que je serai peut être. Qu’advient il de nos dons de ce que nous aimions être et faire, la maladie, la vieillesse, le changement et toutes les transformations liées au temps nous éloignent fatalement d’un certain regard que nous portons sur la beauté, sur la justesse, sur l’esthétisme, pourtant nous avons le droit de jouir de tous les plaisirs, de pratiquer ce qui nous transporte, en sortant des nécessités mécaniques et médicales, bien que nécessaires, elles ne peuvent à elles seules se substituer et combler le chaînon manquant, le plaisir.

L'art d'oser l'art où on ne l'entend pas

Introduction​

Créer une entreprise, se lancer dans son projet, obtenir un numéro de siret, c'est aussi la possibilité d'une mise à plat et d'une réflexion réelle, celle qui sous-tend notre volonté de "faire". Enfin prendre le temps, mentalement, de dérouler nos pensées, celles qui nous amènent à bien réfléchir notre activité.​

Questionnement​

J'oriente sciemment mes interventions vers une approche artistique, quelque soit le public, d'autant plus celui du monde de l'entreprise. Je me suis bien évidemment posée la question,

"Comment bien faire ce que je veux faire" ?

"Doit-on chercher à plaire" ?

"Doit-on s'adapter à l'air du temps" ?

"Doit-on faire ce qui marche et fonctionne bien" ?

Constatation​

J'ai assez vite trouvé la réponse.

Après avoir parcouru beaucoup de site et fais quelques recherches, je n'ai pas vraiment trouvé d'activités pour les entreprises et ses collaborateurs qui sensibilisent à l'art et à l'expression de soi par cet angle un peu plus caché que les autres : la sensibilité artistique.

Les activités proposées autour de la musique tournent souvent autour du jeu, ou des chants du monde, ou du chant populaire. J'ai constaté également durant mes carrières diverses, cette particularité dans des grandes structures d'accueil en crèche où la musique classique ne tenait qu'une infime place par rapport au monde musical autre, moins adapté à l'épanouissement des plus petits. Il y avait une certaine appréhension, qu'elle soit perçue comme "trop compliquée", "pas assez accessible". C'est de ce fait tout un monde perdu, un héritage mondial et culturel non offert mais pourtant à portée de mains.

Réflexion​

Ce qui touche à l'art, touche assez vite à la sensibilité. À l'incompréhension quelque fois.

Faut il préciser : ce n'est pas grave !

La sensibilité, le monde des émotions et des ressentis est également assimilé à la fragilité ou à la faiblesse.

Pour une activité de team building ou un thème de séminaire, comment voir l'intérêt d'offrir l'accès à une production collective vocale, sur un morceau issu du grand répertoire court et un peu technique ou plutôt celui de se diriger vers d'autres choix tels que des activités plus simples, plus ludiques, plus accessibles a priori ?

 

Attention...conséquences possibles

La musique est un exécutoire.

Si elle est associée, grâce à un répertoire choisi, à la pratique des uns, mêlée à celles des autres, les chemins sensoriels qui se construisent en quelques heures, pour quelques lignes de texte et de polyphonie, débouchent sur des sentiments et des sensations fortes.

Son pouvoir motivationnel, la libération de sérotonine dans le sang, l'énergie produite par tous, la synergie, tout se met savamment en place pour faire émerger un tissu humain et fédéré, comptant les intentions de chacun, les possibilités de tous.

Oser mêler des mondes qui ne sont pas censés se rencontrer, c'est comprendre l'interaction entre toutes choses et la nécessité de prendre, autant que faire se peut, le plus souvent possible avec humilité mais volonté, un peu de hauteur et d'élévation.

La beauté ne nuit pas

(Article écrit, réflexions menées sur l'écoute de OLA GJEILO Dreamweaver, with the Choir of Royal Holloway, Royal Philharmonic Orchestra).

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